Sadner. Tel est le nom qu'on décidé de me donner les gardes. Ma mère étant morte à ma naissance ils ont choisis à ma place. Sadner veut dire Bâtard, enfant illégitime. Mon père, surement un garde, je ne l'ai jamais connu. De par le statut de ma mère qui était esclave, j'ai vécu tel qu'elle durant une bonne partie de ma vie. ainsi, dès l'âge de 6 ans on me jugea apte à la construction. Je travailla alors sur le Grand Projet. Mes seuls souvenirs de cette époque sont le repos satisfaisant dans un bon lit, la sueur chaude et pénible et la poussière de roche qui s'infiltrait partout même dans les poumons.
Mais souvenirs tangibles datent de mes dix ans, lorsque je rencontra Octo. À l'époque le grand projet qui avait duré plus de 300 ans et rassemblé des milliers d'esclaves des quatre coins de Eken (pays hors de Verya) arrivait à son terme. On avait prévu son aboutissement pour l'an 2430 environ, soit dans 25 ans. Mais qu'est-ce que le Grand projet? Le Grand Projet est un immense temple. Plus de 700 mètres de haut pour une largeur de 300 mètres environ. sur un rayon de 2,5 kilomètres autour de ce temple immense, s'étendait la "Belle Ville". Aux abords vivaient les simples gardes, ensuite venait les citadins et les officiers ainsi que, rarement, des esclaves affranchis pour un travail hors norme. Puis au plus proche du temple, le Vieux Palais Royal et les grandes maisons des nobles qui y vivaient, au plus proches de la famille Royale.
Ensuite, sur la plaine au delà, logeaient les milliers d'esclaves répartit sur trois campements. Le campements Nord, au nord, était juste une plaine plutôt tranquille où les meilleurs esclaves vivaient, ils y avaient une maison convenable et même pour certain des petites terres. Le Campement Forestier, ici vive des esclaves d'un peux toutes les catégories, ce campement en plein dans une forêt à l'est du temple, achemine du bois pour les constructions et comme tout campement de la main-d’œuvre. Enfin le plus pauvre de tous, le campement de la montagne, au sud du temple, se niche sur une montagne, ici les gens minent, et travaillent durs toute la journée sans répit. En hiver il y fait un froid glacial et en été la chaleur et terrible.
Voilà donc tous le royaume de Eken, petit soit, mais prospère grâce à son économie basée sur l'esclavage. Qui plus est, la construction de ce temple engendra de nouvelle technologie, la poulie, le chemin de fer qui achemine les esclaves, l'eauscalator, deux longs tuyaux d'eau côte à côte pouvant communiquer à l'aide d'une valve. L'un est vide et dedans s'y trouve une cabine, tandis que l'autre est plein et en haut, floutant sur l'eau, une autre cabine. On laisse entrer l'eau dans le tuyau vide, la cabine de ce tuyau flotte, les gens dedans monte en même temps que l'eau et aux final ils arrivent en haut. Ensuite d'autre mécanisme que je ne connais pas active d'autre système.
Mais je vous avais parlé tout à l'heure d'Octo. Octo est quelqu'un d'une grande force physique et morale. Il était le chef de ma section de travailleur. Nous lui vouions tous une grande admiration, sur qu'il serais affranchi un jour grâce à son grand travail. Octo a était mon modèle, je travaillais comme lui quitte à m'écrouler de fatigue dans mon assiette le soir venu. Et le jour j'essayer de faire bonne image, cachant ma fatigue pesante et mon manque de force derrière une volonté à toute épreuve. Je me battais car un gamin avait insulté Octo, j'attendais qu'Octo commence à manger pour faire de même, je saluais tel le faisaient les gardes à leurs chefs quand Octo passait et ça le faisait bien rire. Ce type était d'un naturel très sérieux, il ne lambinais jamais au travail et disais que après avoir était affranchis il deviendrais noble, et il sauverais tous les esclaves de leurs misères.
Et ce jour vint ou Octo fut en effet affranchis. Des années passèrent et j'atteignis mes 15 ans et je n'entendit plus parler de lui jusqu'au jour où, sur le wagon qui m'emmenais au temple, je le vit, discutant au milieu des nobles, avec un costume, tenant une femme par la main et une fille de l'autre. Je compris alors qu'il n'avait rien fait au final, qu'il nous avait abandonné, et une telle vague de haine déferla en moi, que quand il sentit mon regard et qu'il se tourna et que nos yeux se croisèrent, il pâlit et recula, me reconnaissant. Au temple je travailla avec une hardeur incroyable pour me vider de cette haine, mais rien n'y fit le soir j'étais encore bouillonnant. Le lendemain et le surlendemain je travailla ainsi et cela continua longtemps, des jours, des mois, des années. Jusqu'à mes 21 ans quand un garde vint me parler pour m'annoncer que pour mon immense contribution j'étais affranchie. Je restais stupéfaits plusieurs secondes, mais finalement je me ressaisit et le suivit. Une nouvelle vie commença.
N'aillant pas d'éducation, je devins soldat et mes compétence à la hache se firent nettement remarquées. Je fus promut sergent à seulement 25 ans, 3 ans après mon entré dans l'armée. J'étais assez petits, 1 mètre et 73 centimètres, mais j'étais trapu et résistant. En tant que Sergent je commandais à l'escadrille N°13, de 36 hommes. il y a 360 escadrilles en tout dans l'armée, soit 12960 soldats par armées et en tout et pour tout 3 armées. Les escadrilles 1 à 180 sont constitué d’infanterie, parmi elles, les escadrilles 1 à 100 d’infanterie à hache, aussi nommé infanterie offensive et de 101 à 180 de piquier. Ensuite les escadrilles 181 à 280 d'archers et de 281 à 360 des chevaliers. Mon escadrille se démarquait grâce à un équipement choisis par moi même, des longues haches et des boucliers ronds, des épées à une main mais surtout une bonne réserve de hache de jet très lourdes.
La tactique consistait à attendre l'ennemi sur une position, lui lancer des haches dans les boucliers les rendant inutilisables puis, avec les grandes haches cassés les dernières défenses et les achever. Le bouclier servait à se protéger des archers et les épées à une mains c'est juste au cas ou. En tout cas ça marchait, et nos repoussions aisément les Hysker, peuplade brutal dispatché entre clans au sud qui harcelait et pillait. Mais un jour une grande bataille dût avoir lieu. Les Hysker avaient finis par tous se rassembler et voulais essayer de détruire le camps d'esclave des montagnes pour détruire nos mines. Se fut donc sur un plateau enneigé que nous nous affrontâmes.
C'est là que je revis Octo. Il devais être devenus chevalier, quoi qu'il en soit je le vis galoper avec les autres vers l'ennemi. Je sentis à ce moment une grande rage monter, je décida de le tuer. Quans la bataille fis rage et que les deux armées se rencontrèrent vraiment, je chercha Octo partout, ma hache à la main je brisais ennemis comme alliés, et je finis par le trouver. Son cheval était mort, et il se défendait contre un ennemi. À force de feinte et de parade il le tua et se retourna. Je lui faisais face, le visage ensanglanté et une lueur de rage dans les yeux je me jeta sur lui au vu de tous et je le décapita d'un large coup de hache. Je regarda son corps dans la neige et attendis ce sentiment de vengeance qui devais venir. Il ne vint jamais. Je compris ce jour là pourquoi la vengeance était inutile.
Je déserta alors et partis, à travers les montagnes et les plaines mais je me fis rattraper par une patrouille et on me ramena en ville. Je pus voir que le temple était finis, d'après ce que j’appris plus tard, les 3 campements furent transformés en 3 villes distinctes. Schaura la ville agricole, Boldara la ville forestière, et Manos la ville minière. Je croupissais en prison depuis 3 ans déjà quand on finis par décider de m'accorder le pardon des dieux. Recevoir le pardon des dieux c'est être gracié par les dieux et accepté au Sent la ville des morts. Mais ce n'est pas obtenir le pardon des vrais humains, ainsi qui conque reçoit le pardon des dieux et jetés du haut du temple, pour mourir en s'écrasant 700 mètre plus bas, et en remontant ensuite vers Sent.
On m'emmena dans l'eauscalator et je fus grisé par la vitesse de la montée. Arrivé en haut, les prêtres ouvrir des portes, et m'emmenèrent sur un balcon. D'ici je voyais tout l’étendue de la ville. On me rapprocha du vide, les prêtres dirent une dernières prièrent à mon âme et ils me firent sauter. La vitesse était incroyable. Incroyable mais terrifiante et elle continua d'augmenté, me rapprocha inexorablement du sol. Lorsque je toucha le sol je sentis mes os se briser, une douleur incomparable traversa tout mon corps telle une onde de choc et je perdis connaissance.
- Va savoir comment je survécu, en tout cas ses bandages que je porte servent à retenir mes os. J'ai 48 ans et je me bats assez bien, j'aimerais rejoindre votre compagnie de nomade!
L'homme devant moi, un certain MiniMath me regardais longuement. Surtout ne pas lui dire. Ne pas lui dire que ses bandages servent jusque à caché mon corps et à empêcher sa décomposition. Que je n'ai pas 48 mais 163 ans. Que je suis mort.
Mais souvenirs tangibles datent de mes dix ans, lorsque je rencontra Octo. À l'époque le grand projet qui avait duré plus de 300 ans et rassemblé des milliers d'esclaves des quatre coins de Eken (pays hors de Verya) arrivait à son terme. On avait prévu son aboutissement pour l'an 2430 environ, soit dans 25 ans. Mais qu'est-ce que le Grand projet? Le Grand Projet est un immense temple. Plus de 700 mètres de haut pour une largeur de 300 mètres environ. sur un rayon de 2,5 kilomètres autour de ce temple immense, s'étendait la "Belle Ville". Aux abords vivaient les simples gardes, ensuite venait les citadins et les officiers ainsi que, rarement, des esclaves affranchis pour un travail hors norme. Puis au plus proche du temple, le Vieux Palais Royal et les grandes maisons des nobles qui y vivaient, au plus proches de la famille Royale.
Ensuite, sur la plaine au delà, logeaient les milliers d'esclaves répartit sur trois campements. Le campements Nord, au nord, était juste une plaine plutôt tranquille où les meilleurs esclaves vivaient, ils y avaient une maison convenable et même pour certain des petites terres. Le Campement Forestier, ici vive des esclaves d'un peux toutes les catégories, ce campement en plein dans une forêt à l'est du temple, achemine du bois pour les constructions et comme tout campement de la main-d’œuvre. Enfin le plus pauvre de tous, le campement de la montagne, au sud du temple, se niche sur une montagne, ici les gens minent, et travaillent durs toute la journée sans répit. En hiver il y fait un froid glacial et en été la chaleur et terrible.
Voilà donc tous le royaume de Eken, petit soit, mais prospère grâce à son économie basée sur l'esclavage. Qui plus est, la construction de ce temple engendra de nouvelle technologie, la poulie, le chemin de fer qui achemine les esclaves, l'eauscalator, deux longs tuyaux d'eau côte à côte pouvant communiquer à l'aide d'une valve. L'un est vide et dedans s'y trouve une cabine, tandis que l'autre est plein et en haut, floutant sur l'eau, une autre cabine. On laisse entrer l'eau dans le tuyau vide, la cabine de ce tuyau flotte, les gens dedans monte en même temps que l'eau et aux final ils arrivent en haut. Ensuite d'autre mécanisme que je ne connais pas active d'autre système.
Mais je vous avais parlé tout à l'heure d'Octo. Octo est quelqu'un d'une grande force physique et morale. Il était le chef de ma section de travailleur. Nous lui vouions tous une grande admiration, sur qu'il serais affranchi un jour grâce à son grand travail. Octo a était mon modèle, je travaillais comme lui quitte à m'écrouler de fatigue dans mon assiette le soir venu. Et le jour j'essayer de faire bonne image, cachant ma fatigue pesante et mon manque de force derrière une volonté à toute épreuve. Je me battais car un gamin avait insulté Octo, j'attendais qu'Octo commence à manger pour faire de même, je saluais tel le faisaient les gardes à leurs chefs quand Octo passait et ça le faisait bien rire. Ce type était d'un naturel très sérieux, il ne lambinais jamais au travail et disais que après avoir était affranchis il deviendrais noble, et il sauverais tous les esclaves de leurs misères.
Et ce jour vint ou Octo fut en effet affranchis. Des années passèrent et j'atteignis mes 15 ans et je n'entendit plus parler de lui jusqu'au jour où, sur le wagon qui m'emmenais au temple, je le vit, discutant au milieu des nobles, avec un costume, tenant une femme par la main et une fille de l'autre. Je compris alors qu'il n'avait rien fait au final, qu'il nous avait abandonné, et une telle vague de haine déferla en moi, que quand il sentit mon regard et qu'il se tourna et que nos yeux se croisèrent, il pâlit et recula, me reconnaissant. Au temple je travailla avec une hardeur incroyable pour me vider de cette haine, mais rien n'y fit le soir j'étais encore bouillonnant. Le lendemain et le surlendemain je travailla ainsi et cela continua longtemps, des jours, des mois, des années. Jusqu'à mes 21 ans quand un garde vint me parler pour m'annoncer que pour mon immense contribution j'étais affranchie. Je restais stupéfaits plusieurs secondes, mais finalement je me ressaisit et le suivit. Une nouvelle vie commença.
N'aillant pas d'éducation, je devins soldat et mes compétence à la hache se firent nettement remarquées. Je fus promut sergent à seulement 25 ans, 3 ans après mon entré dans l'armée. J'étais assez petits, 1 mètre et 73 centimètres, mais j'étais trapu et résistant. En tant que Sergent je commandais à l'escadrille N°13, de 36 hommes. il y a 360 escadrilles en tout dans l'armée, soit 12960 soldats par armées et en tout et pour tout 3 armées. Les escadrilles 1 à 180 sont constitué d’infanterie, parmi elles, les escadrilles 1 à 100 d’infanterie à hache, aussi nommé infanterie offensive et de 101 à 180 de piquier. Ensuite les escadrilles 181 à 280 d'archers et de 281 à 360 des chevaliers. Mon escadrille se démarquait grâce à un équipement choisis par moi même, des longues haches et des boucliers ronds, des épées à une main mais surtout une bonne réserve de hache de jet très lourdes.
La tactique consistait à attendre l'ennemi sur une position, lui lancer des haches dans les boucliers les rendant inutilisables puis, avec les grandes haches cassés les dernières défenses et les achever. Le bouclier servait à se protéger des archers et les épées à une mains c'est juste au cas ou. En tout cas ça marchait, et nos repoussions aisément les Hysker, peuplade brutal dispatché entre clans au sud qui harcelait et pillait. Mais un jour une grande bataille dût avoir lieu. Les Hysker avaient finis par tous se rassembler et voulais essayer de détruire le camps d'esclave des montagnes pour détruire nos mines. Se fut donc sur un plateau enneigé que nous nous affrontâmes.
C'est là que je revis Octo. Il devais être devenus chevalier, quoi qu'il en soit je le vis galoper avec les autres vers l'ennemi. Je sentis à ce moment une grande rage monter, je décida de le tuer. Quans la bataille fis rage et que les deux armées se rencontrèrent vraiment, je chercha Octo partout, ma hache à la main je brisais ennemis comme alliés, et je finis par le trouver. Son cheval était mort, et il se défendait contre un ennemi. À force de feinte et de parade il le tua et se retourna. Je lui faisais face, le visage ensanglanté et une lueur de rage dans les yeux je me jeta sur lui au vu de tous et je le décapita d'un large coup de hache. Je regarda son corps dans la neige et attendis ce sentiment de vengeance qui devais venir. Il ne vint jamais. Je compris ce jour là pourquoi la vengeance était inutile.
Je déserta alors et partis, à travers les montagnes et les plaines mais je me fis rattraper par une patrouille et on me ramena en ville. Je pus voir que le temple était finis, d'après ce que j’appris plus tard, les 3 campements furent transformés en 3 villes distinctes. Schaura la ville agricole, Boldara la ville forestière, et Manos la ville minière. Je croupissais en prison depuis 3 ans déjà quand on finis par décider de m'accorder le pardon des dieux. Recevoir le pardon des dieux c'est être gracié par les dieux et accepté au Sent la ville des morts. Mais ce n'est pas obtenir le pardon des vrais humains, ainsi qui conque reçoit le pardon des dieux et jetés du haut du temple, pour mourir en s'écrasant 700 mètre plus bas, et en remontant ensuite vers Sent.
On m'emmena dans l'eauscalator et je fus grisé par la vitesse de la montée. Arrivé en haut, les prêtres ouvrir des portes, et m'emmenèrent sur un balcon. D'ici je voyais tout l’étendue de la ville. On me rapprocha du vide, les prêtres dirent une dernières prièrent à mon âme et ils me firent sauter. La vitesse était incroyable. Incroyable mais terrifiante et elle continua d'augmenté, me rapprocha inexorablement du sol. Lorsque je toucha le sol je sentis mes os se briser, une douleur incomparable traversa tout mon corps telle une onde de choc et je perdis connaissance.
- Va savoir comment je survécu, en tout cas ses bandages que je porte servent à retenir mes os. J'ai 48 ans et je me bats assez bien, j'aimerais rejoindre votre compagnie de nomade!
L'homme devant moi, un certain MiniMath me regardais longuement. Surtout ne pas lui dire. Ne pas lui dire que ses bandages servent jusque à caché mon corps et à empêcher sa décomposition. Que je n'ai pas 48 mais 163 ans. Que je suis mort.
Lun 7 Juil - 17:42 par loicpopcap
» Candidature "Daminouche"
Jeu 15 Mar - 14:36 par Daminouche
» Nomad's Craft: fin du serveur?
Mar 31 Jan - 19:41 par Gioverkill
» Présentation Gioverkill
Jeu 26 Jan - 21:23 par [MJ]MiniMath
» Gioverkill Malavita
Mer 25 Jan - 14:49 par Gioverkill
» [présentation] other07
Mer 18 Jan - 19:30 par other07
» Le nouveau monde
Mer 18 Jan - 19:03 par [MJ]Likike
» L'aventure commence ici....! (background du serveur)
Mar 17 Jan - 23:27 par DreamerCube
» Surycette, le soldat
Mar 17 Jan - 3:10 par Surycette