La découverte d'un livre étrange .

"Anthony trouve un drôle de livre par terre juste a coté d'un bassin d'eau " .

Hé les gars ! J'ai trouvé un genre de journal ! Il est vraiment très mal foutu dis donc j'arrive a peine a l'ouvrir sans le casser en deux !

Et en plus il est trempé , a mon avis il a du beaucoup voyagé ce petit bouquin .

Mais qu'est ce que c'est que cette langue !? Je comprend a peine la moitié des mots !

Bon j'ai bon réessayé j'arrive vraiment pas a comprendre cette écriture , en plus le gars qui a écrit ça tremble beaucoup peut être parce que il était pressé ou alors il avait peur .

Enfin bref j'en déduis donc que c'est plus la langue venant de Verya .

Quelqu'un pourrai m'aider a le lire ?

Je m'en charge, je connais une bonne partie des dialectes parlés à Verya, ça devrais me réussir.

*MiniMath s'attelle à la traduction du livre*

*quelque heures plus tard, MiniMath reviens autour du feu de camps, l'air troublé, il s'assied et dit:*

Donc, voilà j'ai finis de lire le journal, et c'est pas glorieux, le meux pour que vous vous en rendie compte, c'est que je vous en face la lecture, alors écoutez bien

*Minimath ouvre le journal, et commence à lire, cherchant par moment la meilleure traduction*



La douleur commence à être insupportable, je n’en ai plus pour longtemps… Mais qu’importe ma pauvre et égoïste personne, je me dois de continuer, d’autres vies en dépendent peut-être. Si vous lisez ceci, alors soyez EXTRÊMEMENT attentif, votre survit en dépend. Peut-être est-il déjà trop tard, peut-être êtes vous déjà contaminés, je n’en sais rien. Je ne sais rien du mal qui nous afflige. Mais je ne pense pas, nous n’avions pas croisés de ruines étranges avant ce points. De toute manière je n’ai plus la force d’aller plus loin. Tout ce que je sais c’est que ce mal a déjà exterminés mon peuple, et probablement trois autres avant nous. C’est en tout cas ce que nous disent les étranges architectures et machines que vous avez vues pour trouver ce journal. Ce jour maudit, ou nous avons trouvés par pur hasard, comme vous d’ailleurs peut-être, cette cité souterraine, nous aurions du écouter les vieilles femmes et les enfants. Nous aurions du rebrousser chemin, tenter de retourner à Verya… Ah Verya, ma contrée d’origine qui me manque tellement, et que pourtant je n’ai jamais vue…Que j’aurais aimé pouvoir poser au moins une fois mes yeux sur la Colline des Illustres, sentir autour de moi la sécurité du Mur…ne pas craindre les creeper. Mais revoilà que je divague à cause de la fièvre… Ce n’est ni le lieu, ni le moment de parler de Verya…trop de vies peuvent dépendre de ce que j’aurais le temps de noter dans ce journal… Mes regrets n’y ont pas leur place.
Je suis un chasseur, depuis ma naissance, comme mon père avant moi. Comme lui j’ai toujours été chasser dans les montagnes, et ce dés que j’ai été en âge de l’accompagner. Il m’a miraculeusement transmis la peur irrationnelle qui va me permettre d’écrire ces lignes. En effet, il n’est pas né dans la nature, comme beaucoup d’entre nous, et n’a jamais réussi à boire de l’eau non pure. Pour cette raison il allait toujours chercher son eau vers les sommets, près des sources. Il pensait qu’a ces endroits, l’eau n’avait aucune chance d’être sale. C’étais sa hantise, mourir après avoir attrapé une maladie due à la saleté de l’eau. Les autres se moquaient de lui, et de moi ensuite, quand je me suis mis à l’imiter. Ils ne rient plus à présent, il ne reste pas même la moindre trace d’eux, pas un os, pas une dent. Mon père était un devin, il avait prévu notre fin. Il ne savait probablement pas à quel point il avait raison.
La seule eau de plaine que je n’ai jamais bu, c’est celle que ma mère m’a fait boire avant que j’accompagne mon père à a chasse, et c’est ce qui aura ma perte finalement. Être tué par celle qui nous a mis au monde, quelle ironie.
Mon temps s’achève, et il temps de vous donner l’avertissement que je voulais vous donner au départ : Ne buvez pas l’eau des plaine, et ne vous en servez pas non plus pour vous laver, elle finira par vous tuer. Croyez-moi, vous pouvez la boire pendant des années sans en subir aucun effet, et tout d’un coup disparaître totalement en quelque secondes d’atroces souffrances. Ne buvez que l’eau des montagnes, c’est la seule qui soit encore pure.
Je vais maintenant vous confier une autre tâche, accomplissez-là uniquement si vous prenez la décision de continuer au-delà de ce point. je n’ai pas eu le temps de tout marquer dans un seul journal, et je souhaite que l’histoire de mon peuple soit connue, ainsi nous ne serons pas mort en vain. J’ai disséminés sur le trajet entre ici et notre dernier campement des journaux racontant notre histoire. Vous ne devriez pas avoir de mal à les trouver, nous avions coutume d’aller toujours au Nord, et nos campements précédents n’ont pas disparus. Trouvez-les et lisez les, c’est tout ce que je demande.
Cela fait maintenant des jours que je n’ai pas bus, je meurs de soif. De toute façon je suis condamné, et ma mort n’a plus d’importance, vu que mon avertissement a été transmis. Je crois que je vais aller me déshydrater dans un de ces bassins…et si cela accélère ma fin, et bien tant mieux.

Antho, il y a avait bien une canne près de là ou tu as trouvé le journal non?

Oui c'est exact ! Pourquoi math ?

m'est avis qu'il est entré dans un des bassins, mais j'ai pas vu d'os dedans, et vous?

Je n'ai pas très bien regardé, peut-être devrions-nous retourner voir ces bassins. Tout cela ne semble augurer rien de bon.

J'avais jeté un coup d'oeil et j'ai rien trouvé a l'intérieur