"Dans une contrés lointaine, ou de nombreux seigneurs se battent pour la gloire ou la vengeance, où la monnaie est le sang, où la gloire nait de la barbarie, où la mort règne en maître, naquis un jour un garçon, fils d’un chasseur se prénommant Math. Entrainé dés son plus jeune âge à la chasse, à la pose de piège, et au maniement de l’arc, il finit par supplanter tous les autres jeunes de son village dans ces domaines. Ces succès provoquèrent bientôt la jalousie et la haine, car les anciens du village lui accordaient un grand respect, et on finit par l’affubler du surnom moqueur de MiniMath à cause de sa ressemblance physique avec son père. Tout le monde finit par l’appeler comme cela, même ses parents, qui, sans se douter de quoi que ce soit, lui plantaient un poignard dans le cœur à chaque fois. Le jeune chasseur pensa à mettre fin à ces jours plus d’une fois, mais il finit par prendre une autre décision : Dans ce pays de souffrance, sans cesse balafré par la Guerre il allait se tailler un nouveau surnom, qui cette fois ferait sa fierté, et qui inspirerait la terreur même aux plus puissants empereurs. Pour ce faire, il devint soldat.
Il commença son apprentissage dans une compagnie de mercenaires, des vétérans aguerris avec lesquels il trouva facilement un arrangement : Il mit à leur disposition son talent de pisteur, et sa connaissance de la forêt, et en contrepartie les vétérans les plus habiles lui apprirent le maniement des armes. L’apprentissage dura plusieurs années, et au fil des champs de bataille, son corps se couvrit de cicatrices. Il vécut à la manière d’un soldat, c’est-à-dire de pillage et de rapine. Il prenait ce dont il avait besoin par la force, que ce soit nourriture, matériel ou femmes…
Bientôt il fut un membre respecté de la compagnie, et sa capacité à trouver un chemin discret dans la forêt, à éviter les routes et repérer toutes les embuscades lui valut le surnom de « Loup ». Cela constituait pour lui un indéniable progrès, que de porter le nom du seigneur de la forêt, mais ce n’étais pas suffisant. Voyant que cette compagnie de mercenaires avait atteint les limites de sa gloire, il décida de partir. Le Loup partit à la recherche d’une Meute.
Il se mit à recruter des hommes, quelque soit leur passé : Brigands ou mendiants, soldats ou nobles, la seule condition était qu’ils soient habile dans le maniement des armes. Heureusement pour lui, les temps troublés étaient propice à la prolifération de sabreur et maître d’armes en tout genre. Il finit par monter sa propre compagnie. Une fois une trentaine de guerrier réunis, il décida de les former à sa propre spécialité : les techniques d’embuscades. Nombreux avaient du talent, mais personne ne parvint jamais à égaler le Loup.
Une fois qu’il jugea sa compagnie prête, il se lança dans cette folie qu’est la guerre. Au début il ne trouva du travail que chez de petits seigneurs, qui payaient peu. Mais sa Meute se tailla rapidement une sombre réputation : Ils surgissaient de l’ombre, et massacraient sans répits, on ne s’attendait jamais à leur arrivée : Ils apparaissaient, tuaient, et disparaissaient sans laisser de trace. Ceux qui tentaient de les poursuivre tombaient dans des pièges élaborés et indétectables. À chaque raid, ils laissent un seul survivant, affreusement mutilé, pour qu’il construise la légende. Leur renommée grandit en même temps que la liste de leurs victimes, et bientôt, dans les tavernes autour du feu, on se mit à raconter l’histoire du Loup qui surgissait de l’ombre, celui que la Mort accompagnait, mais ne prenait jamais. Ainsi naquit son nouveau surnom. Le Loup de l’Ombre.
Sa renommée atteignit de telles proportions que les plus puissants empereurs s’agenouillaient pour pouvoir se payer ses service, et il attient le sommet de sa gloire. La chute fut d’autant plus dure.
Un jour, vint le temps de la bataille de trop : Le Loup avait une telle confiance en sa Meute qu’il attaqua des forces en nombre bien supérieur, dans une bataille rangée, et non plus en se servant d’embuscades. Ses hommes se battirent vaillamment, et pendant longtemps les bardes chantèrent la férocité et le courage des Berserks du Loup de l’Ombre. Malgré cela, toute sa meute périt. Il fut le seul survivant, au milieu d’un océan de cadavre. Seul une dizaine d’ennemis survécurent, et ils s’enfuirent devant sa fureur. Il les traqua sans relâche jusqu’au moment ou le dernier s’éteignit dans un râle d’agonie. Son unique défaite lui ouvrit les yeux : Son arrogance l’avait conduit à sa perte. Il décida de continuer la vie de soldat, mais en tant que subordonné, et non plus en tant que chef. Il partit alors à la recherche d’une nouvelle Meute.
Il entendit parler d’un chevalier qui cherchait une troupe de soldat pour explorer un portail mystérieux vers un autre monde. Ce chevalier se nommait Sir oncle Piksou, et le Loup avait déjà entendu parler de ses exploits. Il jugea qu’il ferait un chef digne de lui, et décida de de s’engager sous sa bannière pour partir explorer cette « Terre Nouvelle ». Un nouveau monde, et pour le Loup de l’Ombre, un nouveau départ."
Je me tus après ces longues heures passée à parler. Du feu de camp il ne restait que des braises. Dehors, le soleil se couchait, teintant l'horizon de sang. On entendait les autre membre du camp rentrer dans leurs abris respectifs. Mon interlocuteur, assis en face de moi, avait les yeux brillants, et je vis dans son regard qu'il avait tou retenu. Chaque phrase. Chaque mot de mon récit était à présent gravé dans sa mémoire. Normal, retenir les histoires était son métier
- Voila, dis-je, tu connais l'histoire de ma vie, et les évènements qui m'ont fait arriver ici. Fais-en ce que bon te semble...Mais je ne mérite vraiment pas d'être chanté, Eyis..
La nuit étais tombée maintenant, et le bruit des monstres peuplant cet étrange monde se fit entendre. j'enfilai mon armure et dis au Chercheur de vent:
- L'Ombre est tombée, il est temps pour le Loup d'aller chasser
Je ramassais mon épée, et sortit de l'abri de fortune que je partageai avec le barde. Comme à son habitude, ma vieille compagne la Mort décida de m'accompagner.
Voila, c'est peut-être un peu long, mais quand je commence à écrire, je ne m'arrète plus
je m'excuse d'avence pour les fautes, j'ai quelque difficulté avec l'orthographe^^'
Il commença son apprentissage dans une compagnie de mercenaires, des vétérans aguerris avec lesquels il trouva facilement un arrangement : Il mit à leur disposition son talent de pisteur, et sa connaissance de la forêt, et en contrepartie les vétérans les plus habiles lui apprirent le maniement des armes. L’apprentissage dura plusieurs années, et au fil des champs de bataille, son corps se couvrit de cicatrices. Il vécut à la manière d’un soldat, c’est-à-dire de pillage et de rapine. Il prenait ce dont il avait besoin par la force, que ce soit nourriture, matériel ou femmes…
Bientôt il fut un membre respecté de la compagnie, et sa capacité à trouver un chemin discret dans la forêt, à éviter les routes et repérer toutes les embuscades lui valut le surnom de « Loup ». Cela constituait pour lui un indéniable progrès, que de porter le nom du seigneur de la forêt, mais ce n’étais pas suffisant. Voyant que cette compagnie de mercenaires avait atteint les limites de sa gloire, il décida de partir. Le Loup partit à la recherche d’une Meute.
Il se mit à recruter des hommes, quelque soit leur passé : Brigands ou mendiants, soldats ou nobles, la seule condition était qu’ils soient habile dans le maniement des armes. Heureusement pour lui, les temps troublés étaient propice à la prolifération de sabreur et maître d’armes en tout genre. Il finit par monter sa propre compagnie. Une fois une trentaine de guerrier réunis, il décida de les former à sa propre spécialité : les techniques d’embuscades. Nombreux avaient du talent, mais personne ne parvint jamais à égaler le Loup.
Une fois qu’il jugea sa compagnie prête, il se lança dans cette folie qu’est la guerre. Au début il ne trouva du travail que chez de petits seigneurs, qui payaient peu. Mais sa Meute se tailla rapidement une sombre réputation : Ils surgissaient de l’ombre, et massacraient sans répits, on ne s’attendait jamais à leur arrivée : Ils apparaissaient, tuaient, et disparaissaient sans laisser de trace. Ceux qui tentaient de les poursuivre tombaient dans des pièges élaborés et indétectables. À chaque raid, ils laissent un seul survivant, affreusement mutilé, pour qu’il construise la légende. Leur renommée grandit en même temps que la liste de leurs victimes, et bientôt, dans les tavernes autour du feu, on se mit à raconter l’histoire du Loup qui surgissait de l’ombre, celui que la Mort accompagnait, mais ne prenait jamais. Ainsi naquit son nouveau surnom. Le Loup de l’Ombre.
Sa renommée atteignit de telles proportions que les plus puissants empereurs s’agenouillaient pour pouvoir se payer ses service, et il attient le sommet de sa gloire. La chute fut d’autant plus dure.
Un jour, vint le temps de la bataille de trop : Le Loup avait une telle confiance en sa Meute qu’il attaqua des forces en nombre bien supérieur, dans une bataille rangée, et non plus en se servant d’embuscades. Ses hommes se battirent vaillamment, et pendant longtemps les bardes chantèrent la férocité et le courage des Berserks du Loup de l’Ombre. Malgré cela, toute sa meute périt. Il fut le seul survivant, au milieu d’un océan de cadavre. Seul une dizaine d’ennemis survécurent, et ils s’enfuirent devant sa fureur. Il les traqua sans relâche jusqu’au moment ou le dernier s’éteignit dans un râle d’agonie. Son unique défaite lui ouvrit les yeux : Son arrogance l’avait conduit à sa perte. Il décida de continuer la vie de soldat, mais en tant que subordonné, et non plus en tant que chef. Il partit alors à la recherche d’une nouvelle Meute.
Il entendit parler d’un chevalier qui cherchait une troupe de soldat pour explorer un portail mystérieux vers un autre monde. Ce chevalier se nommait Sir oncle Piksou, et le Loup avait déjà entendu parler de ses exploits. Il jugea qu’il ferait un chef digne de lui, et décida de de s’engager sous sa bannière pour partir explorer cette « Terre Nouvelle ». Un nouveau monde, et pour le Loup de l’Ombre, un nouveau départ."
Je me tus après ces longues heures passée à parler. Du feu de camp il ne restait que des braises. Dehors, le soleil se couchait, teintant l'horizon de sang. On entendait les autre membre du camp rentrer dans leurs abris respectifs. Mon interlocuteur, assis en face de moi, avait les yeux brillants, et je vis dans son regard qu'il avait tou retenu. Chaque phrase. Chaque mot de mon récit était à présent gravé dans sa mémoire. Normal, retenir les histoires était son métier
- Voila, dis-je, tu connais l'histoire de ma vie, et les évènements qui m'ont fait arriver ici. Fais-en ce que bon te semble...Mais je ne mérite vraiment pas d'être chanté, Eyis..
La nuit étais tombée maintenant, et le bruit des monstres peuplant cet étrange monde se fit entendre. j'enfilai mon armure et dis au Chercheur de vent:
- L'Ombre est tombée, il est temps pour le Loup d'aller chasser
Je ramassais mon épée, et sortit de l'abri de fortune que je partageai avec le barde. Comme à son habitude, ma vieille compagne la Mort décida de m'accompagner.
Voila, c'est peut-être un peu long, mais quand je commence à écrire, je ne m'arrète plus
je m'excuse d'avence pour les fautes, j'ai quelque difficulté avec l'orthographe^^'
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